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Le chant des sirènes » fernand k.

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Mer 20 Fév - 19:08


Le chant des sirènes ou le temps des larmes
fernand de kerack — brunhild de dorndal

5 avril 1268 ; Ard Skellig

Portant une oreille très attentif aux mots de la jeune magicienne, qui au final avoua, à demis teinte, qu'elle aussi était plus âgé que sa silhouette laissant prétendre, le sorceleur vint à lui aussi avoir une pensée pour les quelques êtres qui avait fait partit de sa longue vie. Ayant une pensée en premier lieu pour ses parents, qui à son grand malheur, leur visage lui avait ainsi réchappé depuis bien des années, il en vint surtout à porter son souvenir aux quelques femmes qui partagèrent sa couche, mais aussi ses amis disparus, avec lesquels, il appréciait le bois d'une bonne chaise et le fer d'une bonne choppe.

S'approchant à grand pas de leur destination, pouvant même percevoir à l'horizon des formes moins naturel se dessiner, le Sorceleur écouter avec attention les paroles, mais surtout l'avis réfléchit de sa partenaire sur sa propre vocation et l'égoïsme de cette dernière. Pensant la même chose, mais se taisant là dessus, le mutant avait la même idée sur sa propre profession et ses derniers congénères qui pouvait se montrer bien cupide au détriment des pauvres gens qui ne demandaient qu'une chose, de l'aide.

Venant à s'arrêter promptement et à tourner les talons en direction de son interlocutrice, le chasseur de monstre semblait réagir au dernières paroles de cette dernière, affichant même un fasciés quelque peu surprit.

Amie avec des Vampires vous dites ?.... Lança-t-il avec étonnement. Pardonnez-moi ma réaction, mais bien que je peux concevoir la chose dans certaines mesures, mon vécu ne m'a jamais permis un tel choix. Bien que je dois avouer avoir partager de bons moment avec quelques Trolls plus réfléchies que d'autres, pour ce qui est des Vampires, bien que la conversation à parfois réussi à être dressé, jamais un tel lien n'a réussi à s'épanouir. Mon corps en est le témoin de ses rencontres et de la perfidie de ses êtres, prenez conseil, bien loin de moi de vous y obliger, je vous demanderais de rester sur vos gardes avec vos amis, leur nature est ainsi et ce qui fait que vous êtes en vie pourrait un jours devenir leur repas. Si je puis aussi me permettre, nous arrivons.


383 mots - (-8h)
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Anonymous
Invité
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Mer 20 Fév - 19:56

La brune arqua un sourcil en le voyant s'arrêter et faire demi-tour dans sa direction. Le détail sur les vampires semblait lui avait piquer l'esprit au vif mais… De la part d'un sorceleur il n'y avait rien d'étonnant à cela. Intriguée par ce qu'il avait à lui dire, de son expérience à ce sujet, l'air circonspect, elle l'écouta, sans reconnaître le portrait qu'il lui faisait des deux êtres qui faisaient parti de sa vie. Le Vicomte et la comtesse de Toussaint étaient bien loin du stéréotype que lui citait l'homme devant elle. Poings sur les hanches, laissant une moue dubitative déformer sa bouche, Brunhild n'était pas certaine de partager son point de vue.

- L'on s'entend qu'il ne s'agit point de brouxe ou d'Ekkime, fit-elle, je vous parle bien de vampires supérieurs. Ils sont certes immortels et posent quelques soucis quant à la possibilité de les détruire totalement mais… elle marqua une légère pause, dans le fond ce ne sont pas plus des monstres que les Hommes eux même.

L'Homme était sans doute un monstre bien plus effrayant et meurtrier que la plus part des vampires supérieurs qui pouvaient fouler cette terre. Certes, ils étaient de redoutables prédateurs, et jamais elle ne voudrait voir le visage d'Azémar sous ses mauvais jours. Cependant, la compagnie de ses deux amis s'était toujours passé dans le plus grand des respects. La magicienne avait peut-être l'air ingénue, naïve, or elle ne l'était point.

- Ne nous faisons pas d'illusions, les vrais monstres sont ceux qui cachent leurs intentions sous des mots qu'ils brandissent comme des bannières. Des mensonges qu'ils placardent en guise de vérité irréfutable, avant de trahir ceux qu'ils avaient jurer de protéger, dit-elle en le regardant droit dans les yeux, sans ciller. Nous pouvons accepter d'être dupé par leur petit jeu, parce que cela nous arrange d'y croire. On se conforte dans l'idée que c'est cela faire le bien, tuer ce qui ne nous ressemble pas. Mais dites-moi alors, qu'est-ce qui nous donne le droit de nous proclamer au dessus de ces créatures ? Qui a dit que les Hommes étaient en tout point supérieurs aux autres vies ?

Elle s'approcha du sorceleur et lui prit les mains avec beaucoup de douceur, elle comprenait son point de vue et ne pouvait lui en vouloir d'avoir de telles pensées, aussi bienveillantes pouvaient-elle être. Sous ses doigts courrait la peau caleuse de son interlocuteur, tannée par des années à arpenter ce monde et tenir des épées. Son regard s'était posé dessus, curieuse de voir dans la paume de ces mains les histoires qu'il lui avait conté un temps plus tôt. Ses prunelles noisettes remontèrent pour scruter le visage de Fernand. Un sourire, un dernier, puis elle l'embrassa sur la joue avant de lui relâcher les mains.

Après quoi, elle le dépassa en prenant la direction du camp des druides. Là, elle le voyait à présent, cet endroit où elle dût se rendre bien plus tôt. Mais elle était, finalement, bien heureuse de n'avoir su le trouver sans l'aide du sorceleur.
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Brunhild de Dorndal
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Brunhild de Dorndal
Jeu 21 Fév - 14:24


Le chant des sirènes ou le temps des larmes
fernand de kerack — brunhild de dorndal

5 avril 1268 ; Ard Skellig



Écoutant les paroles emprunt de conviction de son interlocutrice, quelles soient sur ses relations, ou encore et surtout sur son point de vue des hommes, le Sorceleur ne pouvait qu'acquiescer ses mots, aussi juste soient-ils. Revenant un temps, au sein de ses pensées, sur le sujet qu'était les relations que pouvait entretenir la magicienne avec des Vampires Supérieur, le chasseur de monstre qu'il était, en avait déjà rencontré. Au grand dam de cette dernière, le fond de sa pensée, quand il lui avait ainsi conseillé de se méfier, allait avant tout envers ses êtres, plus que ses autres créatures monstrueuses qu'on ne pouvait clairement pas être résonné. Lui, de par son vécu, en avait rencontré plus d'une fois, que furent ses histoires, aussi tragiques soient-elles.

Le Sorceleur concevait l'humanité des Vampires Supérieur, mais à ses yeux et de par son histoire, ses êtres, sans doute de par leur nature intrinsèque, furent parmi les pires monstres les affreux dont-il dut faire face. Ainsi, quand la jeune femme vint à parler de ''vrai monstres'' et de leurs mensonges, bien que des hommes s'affichaient ainsi à ses yeux en terme d'exemple, les Vampires Supérieur avaient eux aussi leur place.

Qui ? Lança-t-il avec réflexion, pour répondre à la jeune femme. Je ne sais pas. Sans doute est-ce cela le propre de l'homme de se sentir supérieur. Pour ma part, dire que je ne l'ai jamais ressentit face à une créature ou un homme serait mentir, je dois l'admettre. Après, pour ce qui de leur donner cette idée, c'est indéniablement le pouvoir et le nombre. C'est cela que fait que l'homme se sent supérieur, car seul, on ne peut avoir dû pouvoir et sans pouvoir on est plus souvent seul. Ses deux notions sont étroitement liées, ne pouvant exister l'un sans l'autre, du moins pour les hommes. Donc oui, c'est triste de voir cela, moi, si parfois je me dois de me sentir supérieur, c'est avant tout pour survivre. Comparer à certain, tuer des créatures ou des hommes, je ne le fais guère de guetter de cœur, je me dois simplement de faire ce pourquoi je suis bon, aider les gens en manier une épée. Il ne m'est jamais arrivé de chasser un monstre par pur plaisir de le faire, où du moins ses cent dernières années. À chaque fois, il y a toujours eux une histoire derrière mes actes, des morts, des disparus, des dangers qui planes au-dessus des gens. J'ai aussi épargné des créatures, voyant par ailleurs que l'homme était aussi en faute, donc je comprends ce que vous ressentez.

Venant à rapprocher de l'homme la magicienne le prit les mains et l'embrassa sur le joue, puis reprit son chemin. N'affichant qu'une sourire compatissant, le Sorceleur poursuivit cette dernière et rejoignit le camp quelques mètres plus loin. Étant arrivé à destination, leur chemin s'apprêtait à se séparer sous peu, quand bien même ils ne s’oublieraient pas, le temps viendra où ils se recroiseront.


529 mots - (-24h)
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